Entrevue avec un nouveau dentiste
Nom : Dr. Khash Gharavi
Diplôme : 2017, médicine dentaire, Université de Toronto
Réalisations : président de la FCDSA/FAEMDC (2015-2017)
Fonction actuelle : associé à trois cabinets de la région du Grand Toronto
Objectifs : acquérir de l’expérience et explorer différentes perspectives
Projet d’acquisition de son propre cabinet : dans un délai de trois ans
Leçons et conseils tirés de vos études et de votre pratique de la profession.
Qu’est-ce qui vous a étonné le plus dans la pratique de la profession de dentiste?
Chaque pratique a des principes très différents en matière de soins. Je travaille dans plusieurs cabinets et, quand je consulte les dentistes responsables sur des cas complexes, je constate que leurs opinions varient grandement; certains sont très prudents, d’autres plus audacieux dans leur approche. Le fait de travailler avec des dentistes qui ont des optiques différentes m’aidera à définir le style et l’approche qui me conviennent.
Quelle est la leçon la plus importante que vous avez apprise?
Ne jouez pas au héros. Quand on exécute un acte dentaire, tout ne se déroule pas toujours comme prévu. Il faut savoir quand s’arrêter et demander l’aide d’un collègue plus expérimenté ou d’un spécialiste.
Communiquez avec vos patients. Ils sauront que leur bien-être vous tient à cœur et que vous faites de votre mieux pour les aider.
Quel conseil donneriez-vous aux étudiants?
Établissez de bonnes relations avec vos enseignants. Questionnez-les. Allez au-delà de la matière traitée dans chaque cours. Apprenez tout ce que vous pouvez de ces experts. Pendant mes études, la plupart des professeurs étaient disposés à discuter avec moi. Aujourd’hui, je me dis que j’aurais dû les consulter plus souvent.
Votre expérience avec le CDSPI.
Comment le CDSPI se compare-t-il aux autres sociétés de services financiers?
Quand j’étais étudiant, de nombreuses sociétés organisaient des événements ─ rencontres, soupers, présentations, etc. ─, mais quand on passait aux choses plus sérieuses, j’avais toujours le sentiment que nous ne représentions qu’une profession de plus pour eux. Seul le CDSPI consacrait toutes ses énergies aux dentistes. Le CDSPI connaît bien son travail, et ses produits et services sont conçus en fonction de nous. Le CDSPI a aussi une approche plus globale. Il s’occupe non seulement de l’aspect financier; il favorise aussi la formation continue et le réseautage.
Le CDSPI a-t-il changé votre stratégie financière?
Oui. Quand j’ai entrepris mes études en médecine dentaire, je pensais qu’une fois mon diplôme obtenu je m’efforcerais de rembourser mes dettes le plus rapidement possible. Après avoir assisté à des présentations données par des conseillers du CDSPI, j’ai compris qu’il fallait avoir un plan détaillé de gestion des dettes en plus d’une stratégie de placement à long terme. On peut ainsi envisager l’avenir avec plus d’assurance.
Que pensez-vous des régimes d’assurance du CDSPI? Les avez-vous comparés à d’autres régimes semblables?
À première vue, certains régimes d’assurance du CDSPI semblaient coûter plus cher. Après avoir examiné plus en détail les régimes offerts, j’ai constaté qu’avec le CDSPI j’en avais plus pour mon argent.